
Mon chapelet, mon compagnon
« Je ne voulais pas venir avant le 3 novembre, j’avais l’impression d’abandonner mon époux là-bas. » C’est par ces mots que Marie Augustine évoque sa venue au sanctuaire de Montligeon. Chaque année, au mois de novembre, elle s’y rend pour prier pour ceux qui sont partis avec son chapelet, son compagnon.








